Bien que peu nombreuses sur le marché, ces SCPI permettent une défiscalisation rapide, car effective dès l’année de souscription, le tout pour un coût d’acquisition relativement modeste.
Il est possible d’en souscrire « quasiment jusqu’aux derniers jours de décembre », indique Jérôme Rusak, président de L&A Finance. C’est aussi un outil précieux pour calibrer à l’euro près la somme à défiscaliser en fonction du nombre de parts souscrites.
À noter qu’il existe trois types de SCPI fiscales dont l’objectif est d’optimiser la mécanique du déficit foncier, deux dédiées au régime Denormandie, une spécialisée en Malraux et une autre en Pinel.
Le seule contrainte majeure pour ces SCPI, outre les classiques frais d’entrée et de gestion élevés, c’est qu’elles n’ont pas vocation à délivrer un rendement conséquent.
En effet, un investisseur peut s’attendre à percevoir entre 2% et 3% par an, loin des SCPI de rendement qui affichent près de 4,5% en moyenne.
Crédits : Zoominvest